«Du monde antique et du monde futur, il ne reste rien d’autre que la beauté. Tu continuait d’être un enfant, stupide comme l’antiquité, cruel comme l’avenir, et entre toi et ta beauté, possédé par le pouvoir, le stupide et cruel présent s’est imprégné. Ta beauté, survivant du monde antique, récupérée par le monde futur, possédée par le monde actuel, est devenue un mal mortel. « Rage » de Pier Paolo Pasolini.
Cette performance est un jeu agité et intrépide avec destruction. Nous sommes en fièvre, à la fois dégoûtante, auto-défensive et étonnamment divine, qui est programmé dans la nature de la cellule vivante. Qu’est-ce que nous craignons si chaque cellule reviendra au chaos initial, d’où elle est créée. Comme les dieux, nous créons et détruisons des constellations corporelles. Nous jouons avec des fictions, des signes et des symboles, avec les rêves des mondes passés, parce que nous ne voulons pas que quelqu’un crée des mythes pour nous. Nous aimerions les créer par nous-mêmes.